Il est estimé que l'herbe à poux est responsable de 75 % des allergies au pollen.
Un Québécois sur dix en serait incommodé : éternuements, congestion nasale, larmoiement font tous partie des effets secondaires.
Si vous en croisez sur votre chemin, nul besoin d'utiliser des herbicides : il suffit que d'arracher les plants.
Contrairement à l'herbe à puce, il n'est pas risqué de toucher à l'herbe à poux.
C'est plutôt son pollen qui entraîne une réaction allergique.
Lorsque la peau entre en contact avec la sève, une douloureuse réaction allergique appelée
« dermatite de contact » peut se produire.
Environ neuf personnes sur dix sont sensibles à cette sève.
Pour s'en débarrasser, il faut être TRÈS prudent : il peut nous venir à l'esprit de brûler la plante. Mauvaise idée.
Respirer la fumée qui émane de la combustion peut avoir des conséquences très graves,
comme une inflammation des poumons, qui peut entraîner la mort.
Arrachez plutôt les plants avec des gants imperméables et portez des vêtements qui protègent votre peau de sa sève.
Voici une histoire de pomme qui finit en histoire de plage.
Ma charmante voisine, que je ne connaissais même pas, s'arrête et me dit
-Vous savez, les pommes qui tombent dans votre cours vous appartiennent si vous faite l'entretien de la cour. Sinon elles appartiennent au propriétaire du pommier.
C'est avec un sourire que j'écoutais attentivement cette femme qui connaît les lois et les pommes. Il advient qu'elle aussi a un voisin dont le pommier lui donne plein de petits cadeaux a ramasser l'automne.
Bref, blablabla, blabla, blablabla
Cette dame, Suzanne que je connais maintenant, qui connaît les lois et les pommes, c'est mise à la tâche de trouver dans le Code Civile du Québec la réponse a la question du siècle. Les extraterrestres, ont-ils le droit de s'installer sur la plage? Notre plage!
Réponse ( musique forte, roulement de tambour, annonce, annonce, annonce, c'est long hein ? Je sais. C'est toujours comme ça. ) ART. 920. Toute personne peut circuler sur les cours d’eau et les lacs, à la condition de pouvoir y accéder légalement, de ne pas porter atteinte aux droits des propriétaires riverains, de ne pas prendre pied sur les berges (une plage est une berge a pente douce) et de respecter les conditions d’utilisation de l’eau.
http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/showdoc/cs/CCQ-1991?langCont=fr#se:920